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27 avril 2024  

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Livre VI - ROUEN - Les juges
III - Les procès-verbaux - p. 34 à 44

orsqu'il est prouvé que le procès de la Pucelle ne fut qu'une œuvre de parti, il est assez indifférent de rechercher s'il s'est fait dans les formes légales. La question pouvait avoir de l'intérêt à l'époque du procès de révision, et nous en pourrons dire un mot alors. Mais l'observation même rigoureuse des formes de la justice, n'est pas un signe qu'on en garde l'esprit. Y eut-il désir sincère d'arriver à la vérité dans la poursuite du procès ? Y eut-il au moins respect de la vérité dans la reproduction des interrogatoires et des enquêtes ? Et que sera-ce si des enquêtes sont supprimées, si les interrogatoires sont altérés, si le procès-verbal, même ainsi rédigé, on le soustrait à la connaissance de ceux que l'on consulte, pour ne les mettre en présence que d'un réquisitoire ? Toutes ces questions se résoudront par les faits à mesure qu'elles se poseront dans la suite des débats. Mais dès ce moment il y a deux points que nous devons signaler, parce qu'ils touchent aux fondements même du procès et au monument qui nous en a gardé la substance : je veux parler des enquêtes préliminaires et des procès-verbaux. Des enquêtes ont été faites et sont supprimées au procès-verbal.

       

  On sait de quelle importance était en matière de visions le fait de la virginité : la vision étant acceptée comme réelle, c'était un signe où l'on prétendait juger si l'esprit qui se communiquait à la jeune fille était pur ou impur. Jeanne avait été visitée à Poitiers, et le rapport des matrones en ce point n'avait pas semblé moins décisif que celui des docteurs sur la foi due à ses paroles. Elle ne pouvait manquer de subir la même épreuve à Rouen : et le fait est attesté par d'irrécusables témoignages. L'huissier Massieu déclare qu'elle fut visitée par ordre de la duchesse de Bedford et par les soins de deux matrones; c'est de l'une d'elles qu'il tient la chose : le greffier Guillaume
Colles a ouï dire que le duc de Bedford assistait d'un lieu secret à l'examen! Thomas de Courcelles, l'un des principaux assesseurs et le rédacteur du procès sous sa forme latine, dit qu'il n'a jamais entendu mettre la chose en délibération, mais il lui paraît vraisemblable et il croit qu'elle s'est faite, parce qu'il a ouï dire à l'évêque de Beauvais que Jeanne avait été trouvée vierge. Il dit même assez naïvement que, si elle n'avait pas été trouvée vierge, on ne s'en serait pas tu au procès. Pourquoi, l'épreuve étant favorable, n'en dit-on rien ? Puisqu'on avait fait l'enquête, pourquoi en supprime-t-on le résultat ? C'est que le juge l'estimait inutile, comme ne tournant pas contre l'accusée (1).

  Mais il est une autre information qui était commandée par la nature même du procès, et qu'on cherche en vain parmi les pièces de la procédure. Avant de poursuivre un hérétique, il fallait connaître ses antécédents, ouvrir une enquête sur sa renommée dans le pays où il avait vécu. Cette enquête n'a-t-elle pas été faite à l'égard de Jeanne ? Les greffiers du premier procès, interrogés par les juges de la réhabilitation, ont déclaré qu'ils n'en ont pas eu connaissance. Manchon affirme qu'il ne l'a vue ni lue, et que si elle avait été produite, il l'eût insérée au procès. Guillaume Colles va jusqu'à dire qu'il croit qu'elle n'a jamais existé. Mais son existence est attestée par le premier procès lui-même. Il est dit en toutes lettres au procès-verbal de la séance préparatoire du 13 janvier, tenue par l'évêque avec l'assistance de cinq ou six conseillers intimes, qu'il y fit lire les informations faites dans le pays natal de Jeanne et en divers autres lieux. Pourquoi donc ne sont-elles pas au
procès? On le devine, quand on sait ce qu'elles étaient, au témoignage de ceux qui les ont pu connaître. On a, en effet, sur cette enquête, les déclarations les plus compétentes. C'est d'abord un des commissaires, Nicolas Bailly, d'Andelot, qui en parle au procès de réhabilitation. Il déclare qu'il fut chargé par Jean de Torcenay, bailli de Chaumont pour Henri VI, d'aller avec Gérard Petit, prévôt d'Andelot, recueillir des renseignements sur Jeanne, alors détenue dans le château de Rouen. Mais le résultat parut tellement favorable à la Pucelle, qu'ils durent produire des témoins eux-mêmes, pour en attester la vérité; ce qui n'empêcha pas le bailli de Chaumont de les traiter de faux (traîtres) Armagnacs. Au rapport d'un autre témoin, l'un des commissaires vint à Rouen apporter son enquête, espérant bien recevoir de l'évêque le prix de ses peines. Mais l'évêque, à la lecture de ce document, lui dit qu'il était un traître et un méchant homme, et qu'il n'avait pas fait ce qu'on voulait qu'il fît. Le commissaire, commençant à comprendre le véritable objet de sa mission, eut grand'peur alors de ne point toucher son salaire; ses informations n'avaient paru bonnes à rien, et on se l'explique sans peine : car, ajoutait-il, « bien que je les eusse faites à Domremy et dans cinq ou six paroisses du voisinage, je n'ai rien trouvé en Jeanne que je ne voulusse trouver en ma soeur. » L'enquête n'a donc pas seulement été faite ; elle a été remise à l'évêque; elle a même été communiquée par lui à quelques assesseurs. Mais en quelle forme ? c'est ce que nul ne peut dire, puisque ce document disparaît dès lors du procès. Du reste, en quelque forme qu'il ait été lu ce jour-là à cinq ou six docteurs, il a été supprimé pour tous les autres; et cette suppression, qui témoigne si hautement de la partialité du juge, a été justement signalée parmi les vices radicaux du procès (2).

  Les procès-verbaux offrent donc déjà sur les préliminaires du procès des lacunes graves, où se révèle la pensée qui y préside; et à mesure que l'affaire se déroulera, nous aurons plus d'une autre omission à signaler dans leur texte. Mais cette exposition officielle, incomplète sur des points qu'on a pu taire aux greffiers, doit-elle faire foi sur tous les autres? Il importe d'examiner de près cette question, puisqu'il s'agit du document dont le texte, quel qu'il soit, sera toujours la principale source de cette histoire.

  

  Le procès-verbal, tel que nous l'avons, a été traduit de l'original par Thomas de Courcelles, et la comparaison de la minute française, dont une copie nous est restée en partie, a prouvé que c'est généralement à tort que dans les enquêtes de 1452 et 1455 on l'avait accusé d'infidélité. La traduction vaut donc, à peu de chose près, l'original, et c'est à l'œuvre même de la rédaction que nos observations doivent s'appliquer (3).

  Trois greffiers furent attachés à ce travail : Manchon, Guillaume Colles, dit Boisguillaume, et Taquel. Les notes prises dans les interrogatoires, le matin, étaient collationnées le soir et reproduites dans une minute française que Manchon rédigea. Quand il la présenta lui-même au procès de réhabilitation, on lui demanda ce que signifiaient plusieurs nota qu'on lisait à la marge. Il répondit que dans les premiers interrogatoires de Jeanne, le premier jour, dans la chapelle du château, il y eut grand tumulte; on l'interrompait presque à chaque mot quand elle parlait de ses apparitions. Or il y avait là deux ou trois secrétaires anglais qui enregistraient ses dépositions comme ils voulaient, supprimant ce qu'elle disait à sa décharge. Manchon s'en plaignit et dit (c'est toujours lui qui parle) que si on ne procédait autrement, il déposerait la plume. Sur sa plainte, on changea de lieu, et le lendemain on s'assembla dans une salle du château, voisine de la grande salle, avec deux Anglais à la porte. Comme il y avait quelquefois difficulté sur les réponses de Jeanne, et que plusieurs disaient qu'elle n'avait pas répondu de la façon dont il l'avait écrit, il marquait d'un nota l'endroit contesté, afin que Jeanne fût interrogée de nouveau et la difficulté éclaircie (4).



  Voilà un homme qui veut la vérité, et c'est une garantie sans doute. Mais on voit combien il y en avait d'autres qui la voulaient altérer. Une déposition antérieure de Manchon à Rouen, lors de l'enquête préliminaire du procès de réhabilitation, achève de prouver que ces criminelles tentatives ne se produisirent pas seulement à la première séance. Pendant les cinq ou six premières journées, quelques juges lui disaient en latin (pour n'être pas entendus de la Pucelle), « qu'il mît en autres termes en muant la sentence de ses paroles. » C'est l'évêque de Beauvais lui-même qui avait placé auprès du tribunal, dans une fenêtre, derrière un rideau, ces greffiers clandestins, chargés de recueillir les charges et d'omettre les excuses; et c'était avec ces rédactions sciemment infidèles que se faisait le soir la collation. On voit quelles différences devait offrir celle de Manchon, et l'évêque de Beauvais savait à qui s'en prendre : toute sa colère retombait sur le pauvre homme qui marquait ses nota. Quelquefois même l'évêque et d'autres docteurs, intervenant plus directement, commandaient à Manchon d'écrire selon qu'ils l'imaginaient et tout au contraire de ce que Jeanne avait entendu, ou si quelque chose leur déplaisait, ils défendaient de l'écrire, comme n'étant pas du procès. Manchon proteste qu'il n'en fit rien, qu'il agit toujours selon sa conscience; et on le veut croire : mais cet homme, qui avoue n'avoir accepté que par peur les fonctions de greffier, n'a-t-il pas pu quelquefois capituler avec la peur, sinon pour commettre un faux constant, du moins pour accepter une rédaction plus conforme à l'esprit du procès ? On l'en peut soupçonner : car on en a plusieurs indices. Jean Monnet, secrétaire de Jean Beaupère, qui prenait des notes, mais non comme greffier officiel, dit que Jeanne se plaignit souvent des inexactitudes du procès-verbal et les faisait corriger. Les releva-t-elle toujours et ne se pouvait-il faire que souvent il lui en échappât ? Qu'on en juge par ce trait de la déposition de Jean Fabri, ou Lefebvre, religieux augustin, depuis évêque de Démétriade. Un jour que, la Pucelle étant interrogée sur ses visions, on lui lisait une de ses réponses, J. Lefebvre y reconnut une erreur de rédaction et la fit remarquer à Jeanne, qui pria le greffier de relire. Il relut, et Jeanne déclara qu'elle avait dit tout le contraire. Manchon promit de faire plus d'attention à l'avenir. Voilà pour les erreurs ; et quant aux omissions, voici un fait bien grave, constaté par le témoignage d'Isambart de La Pierre. Lorsque, à la persuasion de ce dernier, Jeanne déclara qu'elle se soumettait au concile alors réuni (le concile de Bâle), l'évêque furieux s'écria : « Taisez-vous de par le diable ! » et Manchon lui ayant demandé s'il fallait écrire sa déclaration, l'évêque répondit : « Non, ce n'est pas nécessaire; » sur quoi Jeanne lui dit : « Ah ! vous écrivez bien ce qui est contre moi, et vous n'écrivez pas ce qui est pour moi (5) ! »

  Nous n'accusons point Manchon de faux dans ses écritures ; nous admettons qu'il n'a pas été le docile instrument de toutes les volontés de l'évêque, qu'il a su même lui résister quelquefois, bien qu'il ait eu beau jeu de l'affirmer au procès de réhabilitation : mais en présence de ces faits constants, il est difficile de dire que l'on tient de lui une rédaction rigoureusement exacte, et que jamais il n'a rien concédé à la colère d'un homme dont la violence envers ceux qui avaient l'air de ne point penser comme lui, est attestée pour des faits bien moins graves. Un jour que l'huissier Massieu ramenait Jeanne en prison, un prêtre lui ayant demandé : « Que te semble de ses réponses ? Sera-t-elle arse (brûlée) ? » il avait répondu : « Jusqu'ici je n'ai vu que bien et honneur en elle ; mais je ne sais ce qu'elle sera à la fin; Dieu le sache ! » Sa réponse fut rapportée ; il fut mandé par l'évêque, qui lui dit de bien prendre garde, ou qu'on le ferait boire plus que de raison. Et il déclare que, sans le greffier Manchon, il n'eût point échappé. Manchon qui l'excusa dut profiter de la leçon pour lui-même (5).

      

  Concluons donc : le procès-verbal n'offre pas en tout point ces caractères assurés de sincérité qu'on doit attendre de la justice; le juge lui-même a pesé sur la rédaction pour la corrompre et l'altérer. Que s'il n'a pu y réussir complétement, c'est qu'ayant pris pour greffier principal un prêtre, greffier de Rouen, il s'est trouvé aux prises avec les habitudes honnêtes d'un homme qui savait les devoirs de sa charge, et y demeura généralement fidèle, sans toutefois se défendre toujours de l'ascendant des maîtres au service desquels il écrivait. On doit donc prendre avec défiance certaines réponses où le tour de la phrase peut changer le sens de la pensée, quand une altération de ce genre est si facilement concevable avec les obsessions ou les préventions du moment. Mais cette réserve faite, nous acceptons les procès-verbaux comme base de notre jugement. Il y a dans Jeanne d'Arc une telle force de raison, une telle vigueur de réplique, que sa parole, comme un glaive aigu, traverse tous les doubles du texte dûment collationné par Manchon, Taquel et Boisguillaume ; il y a de telles illuminations dans ses réponses que, malgré les voiles de ce résumé si habilement serré, on en est encore ébloui.



                                                


Source : Jeanne d'Arc - Henri Wallon - 5° éd. 1879

Notes :
1 Virginité: « Bene scit quod fuit visitata an esset virgo, vel non, per matronas seu obstetrices, et hoc ex ordinatione ducissæ Bedfordiæ et signanter per Annam Bavon et aliam matronam.... Et post visitationem retulerunt quod erat virgo et integra, et ea audivit referri per eamdem Annam, » t. III, p. 155 (Massieu) ; cf. p. 180 (Cusquel) ; p. 50 (G. de la Chambre), p. 89 (J. Marcel), et t. II, p. 201. — « Quod audivit dici a pluribus.... quod dictam
visitationem fecerat fîeri domina ducissa Bedfordiæ, quod dux Bedfordiæ erat in quodam loco secreto, ubi videbat eamdem Johannam visitari, » t. III, p. 163 (G. Colles). C'est il est vrai, un bruit rapporté par un seul témoignage. — « Et credit quod si non fuisset inventa virgo, sed corrupta, quod in eodem processu non siluissent, » ibid., p. 59 (Th. de Courcelles) ; cf. p. 54 (l'évêque de Noyon). Jean Monnet a ouï dire qu'à cette occasion on reconnut qu'elle s'était blessée en montant à cheval, ibid., p. 63.

2 Information préalable : « Quia alias quis in materia fidei trahere non debet, nisi informatione prævia et fama contra eum referente, » t. II, p. 200 (Requête du promoteur, à la Réhabilitation).» Non tamen recordatur eas vidisse aut legisse, scit tamen quod, si fuissent productæ, eas inseruisset in processu, » t. III, p. 136 (Manchon). — « Eas non vidit, nec credit quod unquam aliquæ fuerunt factæ, » ibid., p. 161 (G. Colles), cf. t. II, p. 379. — « Perlegi fecimus informationes factas in patria originis dictæ mulieris, et alibi in pluribus ac diversis locis, » t. I, p. 28 (13 janvier).
N. Bailly: Et dum dictus ballivus vidit relationem dicti locumtenentis, dixit quod dicti commissarii erant falsi Armignaci, t. II, p. 451 et 453, cf. Ibid., p. 441 (M. Lebuin) et p. 463 (Jacquard). Nous négligeons plusieurs témoignages qui n'expriment que de vagues souvenirs, ibid., p. 394 (Jacob) ; p. 397 (Béatrix Estellin).
Colère de l'évêque : « Quod erat proditor et malus homo et quod non fecerat debitum in eo quod sibi fuerat injunctum.... Quia istæ informationes non videbantur dicto episcopo utiles, » etc., t. III, p. 191-192 (J. Moreau). Pierre Miget dit avoir entendu citer certaines informations : « Eas tamen non vidit nec legi audivit. » Ibid., p. 133. Le procès de réhabilitation constate qu'on les a vainement recherchées, t. II, p. 381. M. de Beaurepaire me paraît ici mal justifier cette suppression en alléguant l'exemple du procès Segueut et la crainte que l'on aurait pu avoir de compromettre les témoins (Recherches sur le procès de condamnation de Jeanne d'Arc, p. 110).

3 Voy. M. Quicherat, Aperçus nouveaux, p. 147.

4 Rédaction des procès-verbaux t. III, p. 135 (Manchon); cf p. 160 (G. Colles) et p. 195 (Taquel).

5 Première déposition de Manchon : t. II, p. 12, 13. Cf. p. 340 (le même). — Greffier par peur: « Et hoc invitus fecit, quia non fuisset ausus contradicere præcepto dominorum de consilio regis. » T. III, p. 137 (lui-même). Le bruit courait que les greffiers étaient empêchés d'écrire tout ce que disait Jeanne, t. III, p. 172 (N. de Houppeville). Les greffiers, comme on le pense bien, protestent tous de leur exactitude, t. II, p. 343 (Manchon); t. III, p. 160 (G. Colles) ; t. II, p. 319 (Taquel). G. Colles et Manchon furent dès
l'origine institués, l'un et l'autre, greffiers par et pour l'évêque ;Taquel leur fut adjoint au nom du vice-inquisiteur, quand celui-ci prit part au procès.
Jean Monnet: « Eidem Johannæ audivit dici, loquendo eidem loquenti et notariis, quod non bene scriberent et multoties faciebat corrigere. » T. III, p. 63. Cf., t. III, p. 160-161 (G. Colles). —
J. Fabri: t. III, p. 176. — Isamb. de La Pierre: t. II, p. 349, 350. Cf. ibid., 304 : « Conquerebatur quod ipse episcopus nolebat quod illa quæ faciebant pro excusatione sua scriberentur ; sed ea quæ contra eam faciebant volebat scribi. »

5 Massieu, t. II, p. 16 et 330. — Massieu lui-même rend bon témoignage au caractère de Manchon, t. II, p. 331.

 

Jeanne d'Arc
Henri Wallon - 5°éd. 1879

Index

Avertissement
Préface

Introduction :

- La guerre de cent ans
- Charles VII et Henri VI
- Le siège d'Orléans

Livre IDomrémy et V...
I - L'enfance de J. d'Arc
II- Le départ

Livre II : Orléans
I - L'épreuve
II - Entrée à Orléans
III - La délivrance d'Orléans

Livre.III : Reims
I - La campagne de la Loire
II - Le sacre
III - La Pucelle

Livre.IV : Paris
I - La mission de J. d'Arc
II - La campagne de Paris
III - L'attaque de Paris

Livre.V :
Compiègne
I - Le séjour sur la Loire
II - Le siège de Compiègne

Livre.VI : Rouen - Les juges
I - Le marché
II - Le tribunal
III - Les procès-verbaux

Livre.VII : L'instruction
I - Les interrog. publics
II - Les interrog. de la prison
III - Les témoins

Livre.VIII : Le jugement
I - L'accusation
II - Les douze articles
III - Les consultations...
IV - La réponse de...

Livre.IX : L'abjuration
I - Le cimetière de St-Ouen
II - La relapse

Livre.X : Le supplice
I - La visite à la prison
II - La pl. du Vieux-marché

Livre.XI : La réhabilitation
I - La mémoire de Jeanne...
II - Le second procès...

Livre.XII : L'histoire

I - Les contemporains...
II - L'inspiration de J.d'Arc




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